Fille de Cheikh Ahmadou Bamba, Sokhna Mously Mbacké a vu le jour en 1337 de l’hégire, soit 1918 à Daroul Alimoul Khabir à Ndame , où résidait sa vertueuse mère Sokhna Faty Touti Diop, connue pour sa maitrise du Saint-Coran au point d’en calligraphier 5 exemplaires. Sur ses traces, Sokhna Mouslimatou a mémorisé et calligraphié le Saint Coran sous l’égide de Serigne Dame Abdou Rahmane Lô qui l’initia aux sciences religieuses. Elle compléta sa formation auprès de Serigne Mouhammadou Lamine Diop Dagana. Très tôt intéressée par l’hagiographie (Sîra), elle fit des recherches poussées sur la vie et l’œuvre des ‘’ummuhatul muminun’’ (les mères des croyants) pour s’inspirer de leur exemple. C’est cette passion combinée à l’amour de son père et maître spirituel à écouter les récits de ses contemporains. Il lui arrivait de retenir Serigne Moussa Kâ entre 2 et 3 mois pour lui raconter des épisodes de la vie du Cheikh. C’est sur son insistance que le grand poète composa ‘’Jazâ-us-shakûr jeeri’’ qui relate la vie du Cheikhoul Khadim de 1320 à 1345, soit de 1903 à 1927. Educatrice très rigoureuse, c’est elle-même qui officiait en tant qu’enseignante auprès des filles qui étaient à sa charge et dont la plupart était ses homonymes ou des filles des autorités religieuses. C’est elle-même qui supervisait personnellement les travaux de la cuisine pour lesquels elle avait un don.Elle inventait des plats qu’elle préparait elle-même. A suivre. LE GROUPE HTCOM
VIDEO > Jaar-Jaari Sokhna Mouslimatou Mbacké fille de Cheikhoul Khadim (1918-1968)
Fille de Cheikh Ahmadou Bamba, Sokhna Mously Mbacké a vu le jour en 1337 de l’hégire, soit 1918 à Daroul Alimoul Khabir à Ndame , où résidait sa vertueuse mère Sokhna Faty Touti Diop, connue pour sa maitrise du Saint-Coran au point d’en calligraphier 5 exemplaires. Sur ses traces, Sokhna Mouslimatou a mémorisé et calligraphié le Saint Coran sous l’égide de Serigne Dame Abdou Rahmane Lô qui l’initia aux sciences religieuses. Elle compléta sa formation auprès de Serigne Mouhammadou Lamine Diop Dagana. Très tôt intéressée par l’hagiographie (Sîra), elle fit des recherches poussées sur la vie et l’œuvre des ‘’ummuhatul muminun’’ (les mères des croyants) pour s’inspirer de leur exemple. C’est cette passion combinée à l’amour de son père et maître spirituel à écouter les récits de ses contemporains. Il lui arrivait de retenir Serigne Moussa Kâ entre 2 et 3 mois pour lui raconter des épisodes de la vie du Cheikh. C’est sur son insistance que le grand poète composa ‘’Jazâ-us-shakûr jeeri’’ qui relate la vie du Cheikhoul Khadim de 1320 à 1345, soit de 1903 à 1927. Educatrice très rigoureuse, c’est elle-même qui officiait en tant qu’enseignante auprès des filles qui étaient à sa charge et dont la plupart était ses homonymes ou des filles des autorités religieuses. C’est elle-même qui supervisait personnellement les travaux de la cuisine pour lesquels elle avait un don.Elle inventait des plats qu’elle préparait elle-même. A suivre. LE GROUPE HTCOM
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